
Être observateur des embarras parisiens à plus de quatre cents kilomètres, c’est facile.
Aucune action à mener, juste observer comment l’on nous rapporte la situation à travers le net, la radio, les medias TV.
Après les inondations, voici la neige et son corollaire la paralysie totale des transports et donc de l’activité économique. Continuer à lire … « C’était prévu… »
