
Je ne connaissais pas le vocable
Le bigorexique est addict au sport. On ne parle pas d’une simple passion mais bien d’une dépendance à la pratique excessive d’un sport. Rien à voir avec la messe, donc.
J’ai vu un reportage à la télé. La femme se lève à 4 heures chaque matin et elle se met à pédaler pendant cinq heures sur son home-trainer au salon. Elle est bigorexique ou accro au sport.
Elle doit être aussi bling-bling dans sa tête, à mon avis.
Elle ne se sent en forme qu’à partir d’une certaine dose ou si vous préférez d’un dose certaine.
Il est désormais acquis que certaines disciplines, et le running vient en première position de celles-ci, favorise la sécrétion d’endorphines, cette molécule naturelle qui déclenche (ce que les Américains nomment) ‘le runner high’, autant dire l’ivresse du coureur.(source Ouest-France)
Dopé, le Maxou? C’est vrai qu’on le constate tous plus ou moins; au retour d’une sortie jogging ou vélo, on se sent fatigué mais aussi plutôt de bonne humeur…sauf si on a crevé trois fois en route.
J’ai eu peur de faire partie aussi de ceux-là, les bigorexiques. Mais non, je me contente de quatre sorties vélo par semaine et…à petite dose. Ouf! j’échappe à la maladie.
Ce matin, 2 ou 3 degrés, je me suis fait violence pour partir sur mon vélo. Il n’y avait pas de verglas mais le vent d’ouest sur l’Alsace était désagréable.
Les pistes cyclables ne sont pas toutes déneigées, on l’oublie parfois. J’ai du modifier mon itinéraire.
A Gildwiller, j’ai pris Burnhaupt, Heimsbrunn et Reiningue.
Bien assez pour son sport favori en cette saison.
