
Ils ont parfois de la chance les cyclistes, on leur octroie les voies ferrées abandonnées.
Alors je m’engage avec délice dans ce joli chemin arboré et fait rien que pour moi. Finalement qu’un vélo succède à un train, c’est une belle transition écologique.
Je suis d’une naïveté déroutante, ce soir.



La France continue d’ignorer le cycliste-usager. Comment promouvoir le vélo dans ces conditions?