

C’est vrai que parfois on y rencontre des véhicules motorisés, notamment des engins agricoles qui vont dans leurs champs. Mais normalement, cette Voie Verte ne permet pas de circuler avec des deux-roues motorisés ou des voitures.
C’est vrai que parfois on y rencontre des véhicules motorisés, notamment des engins agricoles qui vont dans leurs champs. Mais normalement, cette Voie Verte ne permet pas de circuler avec des deux-roues motorisés ou des voitures.
Tour de route ordinaire sur mes anciennes terres.
Même jeune, le lama apparait mécontent avec sa tête renfrognée. C’est dans sa nature. Il n’est sensible à rien, surtout pas à ma présence. Il m’ignore le lama avec son casque en duvet.
Les alcooliques anonymes vont se marrer en entendant le gouvernement prôner la sobriété. La sobriété énergétique.
Ne rigolons pas: le brasseurs de bière ont aussi des sueurs froides pour faire tourner leur production. L’industrie alimentaire est, derrière l’industrie chimique, le secteur le plus gourmand en gaz, utilisé notamment lors du maltage, première étape dans la fabrication du breuvage alcoolisé.
Entendre les fournisseurs d’énergie vous donner des conseils pour moins consommer, c’est le monde à l’envers.
Alors chacun y va de sa combine pour moins dépenser.
Aller à vélo, oui bien sûr! (Merci Poutine)
Les communes qui s’intéressent à leurs factures sursautent en voyant le prix des énergies s’envoler. Vite, on ferme les piscines, on éteint l’éclairage public, on baisse le chauffage, l’eau des douches reste froide…et toutes celles qui ont quitté EDF veulent revenir dans le giron monopolistique.
Mais à la maison aussi, on peut revenir aux bonnes vieilles habitudes d’antan.
J’ai le souvenir des années 50.
Le réveil matin qu’on remontait, la lampe unique qu’on transférait de la cuisine à la chambre, la pile électrique pour aller au WC au fond du jardin ou à la cave chercher des pommes de terre, sans oublier la bouillote et la brique réfractaire dans le four de la cuisinière avant d’aller se coucher.
Avec le chauffage central, on veut avoir chaud partout et tout le temps. Il va donc être compliqué d’être économe.
Mais dans la rue, on trouve encore des automobilistes capables de pétarader la nuit pour emmerder le voisinage, preuve qu’ils ont encore les moyens de se payer du carburant à 2 euros le litre.
Je vous laisse méditer.