C’est mon village natal. J’y reviens de temps à autre. Les lieux me sont devenus étrangers. Je ne connais plus les habitants et je n’en croise aucun. Ça ressemble à un village fantôme. Mais l’Association Foncière ne m’oublie pas: mes trois ares de friches me valent 5 euros de taxes cette année. J’en suis presque fier.