Thann, traverser la RN66 par la rue du 7 aout un premier mai (image Google)
Oui m’sieur l’agent!
C’est vrai!
Confondu par les images, j’ai du avouer; c’était bien moi.
Il y a en France une tradition judéo-chrétienne qui consiste à expier sa faute en avouant ses infractions et ses crimes tout en oubliant que le code de procédure pénale permet de garder le silence.
C’était bien moi qui, hier matin, jour du premier mai, ai traversé la voie ferrée, puis la nationale en diagonale à 6h52 et alors même que le feu était rouge.
Ce genre d’anecdote montre ce que pourrait être un univers cycliste dépouillé de toute circulation automobile: plus de feux, plus de stop imbécile, plus de giratoire. Une seule priorité de principe à droite, à la rigueur.