
Un vieux qui court, c’est déjà incongru. Si en plus il écoute Nakamura, c’est du délire. Vite, il faut consulter.
Depuis que la fachosphère s’est emparée d’Aya Nakamura comme d’un épouvantail raciste, j’exulte.
Ces gaillards là vont me donner l’occasion de les combattre jusqu’à la moelle.
Pourtant j’arrive à tout comprendre ou presque. Je m’en fous si Jean Messiha considère qu’Aya prononce dans ses chansons une « espèce de sabir afro-racaille ».
Quand il me prend dans ses bras
Qu’il me parle tout bas
Je vois la vie en rose
Il me dit des mots d’amour
Des mots de tous les jours
Et ça me fait quelque chose
Il est entré dans mon coeur
Une part de bonheur
Dont je connais la cause
C’est lui pour moi, moi pour lui dans la vie
(La vie en rose)












