
A vélo, j’ai cette faiblesse de m’arrêter pour un oui, pour un non.
C’est contraire à l’esprit du vélo à plusieurs et en partie une des raisons qui m’a fait arrêté ce type de pratique en groupe; beaucoup se demandaient pourquoi je m’arrêtais ou pourquoi je traînais derrière.
Bref, tout seul je suis content.
Je suis du genre contemplatif et bucolique, pas toujours au goût de la discipline sportive.
C’est donc pour regarder le paysage que je m’arrête, le photographier et rapporter un souvenir…et aussi, je l’avoue sans gène, souffler un peu quand je renâcle dans les côtes.
A VTT, on distingue parfois à peine le sentier s’il est peu pratiqué et la nature se referme volontiers derrière nous et l’étroite trace de nos pneus.

Refermez les barrières si vous les ouvrez pour passer.

