Les épisodes pluvieux n’incitent pas à sortir.
Je reprends mes clichés et je peins, histoire de revisiter les paysages à ma manière.
Les épisodes pluvieux n’incitent pas à sortir.
Je reprends mes clichés et je peins, histoire de revisiter les paysages à ma manière.
A la faveur du temps qui s’est arrangé en milieu d’après-midi, j’ai prolongé mon parcours.
Je me méfiais de ce vent de nord-est casse-patte; alors j’ai progressé par les bois comme j’en ai pris l’habitude. Continuer à lire … « Bord du Rhin à VTT »
Je ne savais pas vraiment vers où me diriger.
Temps médiocre avec un fort vent de nord. Continuer à lire … « Ensisheim-Rustenhart à VTT »
Après mon dada vélo.
C’est quand je n’ai rien à dire que je trouve un prétexte pour remplir ma feuille blanche.
Un exercice que j’exécrais quand, potache, arrivait le dimanche soir et que ma tête de linotte restait désespérément vide. Continuer à lire … « Elle est pas belle, votre commune »

Beau temps, mais 2°C seulement sur l’Alsace.
On n’aura pas le temps d’avoir froid.
Même sans Damart!
On en profite pour mener un raid jusqu’à Rustenhart, puis obliquer sur Balgau avec un retour plein sud.
28-30 à l’aller et 38-40 au retour.
Un peu trop fort pour moi.
Dommage!
L’avantage, c’est quand même qu’on est rentrés tôt à la maison et qu’on a le temps de faire autre chose que du vélo.
77km
Oui, c’était « fastoch » aujourd’hui de filer vers le nord.
Une petite brise de sud et 17°C au compteur.
Rien d’autre qu’un virus mexicain ne pouvait nous dissuader
d’enfourcher notre bécane.
Il serait bon, depuis le temps qu’on en parle, qu’on attrape
tous ensemble une fois pour toutes cette fameuse grippe; car il ne
fait pas de doute qu’on va l’avoir avant d’être vaccinés puisque
les « vieux cyclos » seront les derniers à l’être.Vaccinés.
La grande piste rectiligne d’Ensisheim nous tendait donc les
bras et puis on a obliqué vers l’est pour couper la plaine d’Alsace
en travers. Le grand toit de l’écluse de Rustenhart ne plait tant
que j’en ferai une aquarelle. Quand j’aurai le temps!
Après l’épisode des anguilles de Fessenheim, on poussera voir
les grands tankers ancrés devant l’écluse avant de rejoindre « le
cirque » d’Hartheim.
Mettons nos lecteurs dans la confidence: le cirque
d’Hartheim, c’est notre auberge allemande décorée de clowns où nous
aimons prendre un café.
En rentrant à Mulhouse, Jean arborera son gilet de sécurité dont
l’efficacité n’est plus à démontrer.
Avant d’atteindre Grünhutte, une vingtaine de chevreuils
s’étaient rassemblés dans le parc de la maison forestière pour
goûter à la quiétude du crépuscule.
82km.