
L’EuroVéloRoute (EVR6) a comme un air de vacances.
Il suffit de s’y rendre pour y voir les touristes de passage.

Ceux qui passent à bord des pénichettes et ceux qui cyclo-campent.
Arnachés de grosses sacoches, ils ne semblent pas harassés.
Leur allure est bucolique.
Les communes riveraines s’ingénient à dévier les visiteurs.
Hagenbach a construit un sentier de découverte et marqué son intersection avec l’EVR6 avec le tocsin de l’écologie.
Je ne sais pas ce que ça signifie…


Finalement, j’ai pris l’habitude de faire une pause au port de Gommersdorf, confluence de bateliers et de cyclistes.

Puis je rentre.

