
Le monde cycliste vit au ralenti.
On se croise dans les tranches forestières de la Hardt quand d’autres ne rechignent pas d’affronter des sommets parfois encore enneigés.
Cette permanence de la pratique du vélo peut surprendre ceux qui préfèrent mettre en sourdine une activité qui mobilise beaucoup nos réserves physiques.
Avec 4°C, on préfère donc se réfugier en forêt pour faire du « moulinet » et évoquer le programme de la prochaine saison cycliste.

Tu as de la chance de rencontrer du monde, moi je ne vois personne.
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