Inutile de refaire les calculs!
C’est Paul Maillet qui le révèle dans « 40 ans d’histoire des Cent Cols »*.
La vitesse minimale pour grimper un col en sécurité a déjà été calculée, elle est de 12 à 13 km/h.
Désolé de vous décevoir aimables cyclotouristes adeptes du triple plateau, en dessous de 12 à 13km/h il est impossible d’échapper « aux galipettes chatouilleuses sur les trous de nez, sur les oreilles et sur les paupières » de la mouche en grimpant le Grand Ballon ou l’Alpe d’Huez pour peu que la chaleur soit intense et votre transpiration abondante.
Cependant, dans le même ouvrage, Bernard Giraudeau fait observer qu’on peut échapper à ces agressions sauvages à la condition « de ne pas sentir mauvais si l’on transpire »…ou bien en choisissant son itinéraire « en fonction des paravalanches habités de nids d’hirondelles en activité » et qui fondent sur les mouches inopportunes sans crier gare.
Facile à dire!
Bernard Giraudeau poursuit: « Mes paupières battaient frénétiquement pour tenter de conserver un fragment de route en vue entre 12 paires de pattes velues et 4 abdomens… »
On imagine la torture…
Moyennant une adaptation, peut-être pourrait-on enfin adapter sur nos casques cet engin extraordinaire décrit dans cette vidéo?…
* »40 ans d’histoire Cent Cols » de Jean Perdoux et Henri Dusseau ISBN:978-2-9541592-0-1

Simple !
Je ne comprend pas comment les cyclotouristes n’y ont pas pensé avant moi !
Pour dépasser les 12 13 km/h dans les cols, il suffit de les prendre dans le sens de la descente !
Évidemment, il faut monter en voiture. Mais vu le nombre de kilomètres que les pauvres vélos font déjà dans les coffres ou sur le toit des voitures, une dizaine de plus ou de moins ne changeront pas grand’chose au bilan carbone du cyclotourisme.
Il y a même des catégories de vélos (les VTT) qui font beaucoup, beaucoup plus de km en voiture que sur leurs roues.
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C’est pas faux!
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Et bing !
Prend ça dans le dérailleur !
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