Cette image là n’est pas nouvelle, les cyclistes n’y prêtent même plus attention.
Voila à quoi conduit l’ivresse du pouvoir de nos élus!
Des ouvrages mort-nés.
Obsolètes dès la conception.
Il est clair que des mois et des mois de cours de rattrapage ne suffiront pas à restaurer chez nos décideurs publics la compréhension du monde cycliste.
Il nous faudra encore, au moins 50 ans, pour corriger le tir de toutes ces malfaçons préjudiciables à l’avènement d’une véritable politique en faveur du cycle.
PS: pour ceux qui ne connaissent pas les lieux, précisons qu’il s’agit d’un itinéraire à grande circulation où un tel ouvrage met gravement en question la sécurité des cyclistes qui se rendent vers le massif vosgien ou le Sundgau.
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Comme tu es dur avec nos généreux élus qui se donnent tant de peine pour permettre aux bagnolards (tas de saindoux, de cellulite et de lard) de circuler à vive allure dans leurs belles bouses à moteur sans difficultés.
Les braves élus ont quand-même sacrifié quelques kilos de peinture pour mettre de la couleur par terre et peindre de jolis petits vélos sur le sol.
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Haha, je suis passé là hier, en pestant contre cette fin de piste débile. Avec un drôle d’effet de déjà-vu. Jusqu’à ce que je réalise que ça faisait l’objet d’un article vu ici. On devrait les recenser, ces « fins de piste », il y en a un beau paquet en Alsace. Et je trouve ça encore plus scandaleux à Strasbourg, qui aime se clamer « capitale cyclable » et rappeler la densité de son réseau, en omettant bien de mentionner que les tracés n’ont souvent aucun sens et que la vie du cycliste qui souhaiterait utiliser exclusivement les pistes est un dédale, ponctué de trottoirs, d’injonctions à mettre pied à terre, de virages à l’aveugle et de détours divers.
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