Après les cérémonies du 11 novembre, on va pouvoir faire un tour.
Le soleil semble vouloir teinter timidement la campagne alsacienne.
Cet engin là qui illustre mon article est un tensiomètre capable de mesurer la pression artérielle.
Un appareil qui fout parfois la trouille depuis qu’on peut en disposer à coté de sa balance dans la salle de bain.
Je ne suis pas médecin, je ne ferai donc pas un cours.
Mais ces tensiomètres, sans stéthoscope externe, sont devenus simples d’emploi; plus besoin d’écouter les battements pour définir la systole et la diastole de votre cœur.
Tous ces progrès de notre médecine, nos fantassins de 14-18 n’en disposaient pas.
Même la prise de tension semblait superflue dans les tranchées! (lire l’article sur le système Pachon et le système Vaquez)
Un sportif n’ignore rien aujourd’hui de la relation entre son sport et son corps.
Perfusions, transfusions, opérations thoraciques étaient encore balbutiantes il y a un siècle.
Je vous propose ce site du Dr Loodts qui explique très bien aux profanes que nous sommes les enjeux de la médecine et de la chirurgie lors de la Grande Guerre…
