Encore un truc de merdouille électronique!
La vitesse ascensionnelle du cycliste.
Il est vrai que la plupart des compteurs évolués affichent à présent votre vitesse ascensionnelle en mètres/minute.
De quoi pouvoir téléphoner à l’aubergiste l’heure à laquelle on arrivera au sommet du col de Vars!
Pourtant, cette donnée passionne les bio-mécaniciens du sport…et les compétiteurs.
Contre toute attente, j’ai découvert en lisant Le Randonneur( n°54- Janvier 2014) que, quelle que soit la pente, on monte toujours aussi vite!
C’est en effet dans cette revue de tourisme familial que le physicien Gilbert Vincent nous assène pas moins de six pages de formules mathématiques décortiquant tous les paramètres de la bio-mécanique cycliste.
Le diagramme qui va nous réconcilier avec la montagne, le voici…
Vélomaxou va servir de cobaye…
poids du cycliste 80 kgs (à la sortie de l’hiver!) + poids du vélo 12 kgs (sans les sacoches) = 92 kgs au total
puissance développée en montée: 170 watts (en régime continu)
rapport puissance/poids: 1.85 W/kg
Moralité: 6 ou 9% de pente, je monte sensiblement à la même vitesse soit 600 mètres à l’heure.
L’autre morale de l’histoire, c’est qu’en maigrissant, on gagne un peu de vitesse ascensionnelle…bof!
Bien entendu, si on est essoufflé pendant la montée, il faut s’arrêter…
Pour s’abonner à la revue « Le Randonneur »
velomaxou 
Moi pas tout compris… mais ce que je constate les grimpées c’est comme un placement à terme : le pourcentage augmente chaque année 😦
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Sur tes conseils je me suis réabonné au « Randonneur ». Heureusement qu’i y a d’autres articles dans la revue. Cette page « cyclotechnie » est indigeste,à mon niveau c’est incomprehensible. D’accord je suis du niveau primaire.
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Oui, tu as raison, ça donne mal à la tête.
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