
L’emportièrage.
C’est comme ça qu’ils disent au Québec.
Bref, chez nous on parle plutôt de manger une portière.
L’un et l’autre disent la même chose: un cycliste percute une porte de voiture qui s’ouvre inopinément.
Souvent quand on est solide, on reprend sa route…
Puis, c’est après qu’on commence à se rendre compte que les dégâts sont sérieux.
Trop tard!
L’automobiliste est parti et vous n’aurez aucun recours.
Un conseil: quand vous heurtez une portière, même si vous ne tombez pas, manifestez-vous tout de suite à la police, arrêtez des témoins et noter le numéro du véhicule.
Au mieux prenez une photo de l’immatriculation avec votre téléphone.
Sachez que maintenant, la loi vous autorise à sortir du couloir vélo si vous longez des voitures.
Roulez donc au large!
