J’y vais surtout pour rencontrer la ferveur cycliste.
L’exercice m’apparait chaque année un peu plus difficile.
Aujourd’hui, j’ai visé le circuit de 36 km à VTT avec un bonus à l’arrivée puisqu’il ne faisait que 34,400 km.
C’est quand on arrive à la moitié que je commence à mesurer le reste de mes forces.
Les organisateurs le savent car après le ravito à mi-parcours à Vieux-Ferrette, c’est moins difficile, un peu comme si on avait droit à une remise de peine.
Alors dans les grandes traces roulantes, on met des pignons et les kilomètres défilent plus vite.
C’est à l’entrée de Hirsingue que je suis surpris, surpris d’être déjà là, arrivé!
Je n’irai pas réclamer du rab: j’en ai assez.
Évidemment, le VTT est la pratique reine de cette Schwalmala qui nous montre le Sundgau, le sud de l’Alsace, boisé, herbagé, baigné par le soleil d’automne qui filtre à travers les bois.
Certes, je dénote un peu avec mon appareil photo.
Photographier un monument en traversant un village est presque incongru.
Ceux qui sont là sont surtout venus pédaler à l’abri des voitures.
Pourtant des voitures, il y en a à Hirsingue, venues de partout avec les vélos derrière.
Mais la discipline l’exige, alors!…

Bravo et merci pour ce reportage. 🙂
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En dépit d’un balisage sérieux, des annonces de croisement de route, j’ai vu des cyclistes à VTT braver le code de la route en débouchant des chemins sans précaution.
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