Le téléphone pleure


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Il n’y a plus d’abonné au numéro demandé.

A présent dans cette cabine France Télécom, on se parle à soi-même.

Cette mini-bibliothèque remplacera avantageusement le bottin.

A la place du téléphone rose, il faut se contenter de roman à l’eau de rose.

Les jours de pluie, le cycliste trouvera dans cet asile de fortune de quoi s’abriter et lire.

Un vrai plus!

C’est à Bourbach-le-Haut.

Reste une inconnue, la frénésie bouquinière sera t-elle au rendez-vous?

Une réflexion sur « Le téléphone pleure »

  1. J’adore ce genre d’initiatives propres à une société civilisée. Malheureusement il n’y a plus que dans les villages – retirés ! – qu’on peut encore en prendre sans craindre le vandalisme…

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