Les routiers n’hésitent pas.
Ils sortent.
J’en ai rencontré plusieurs.
Ils ont tous l’air pressé comme s’il fallait en finir au plus vite.
Je pars vers le nord.
Perdu!
Au secours!
Rien pour me protéger, la pendule s’affole.
On cherche le meilleur braquet mais faut quand même pédaler.
A l’Ecomusée, je souffle.
Demi-tour.
Je croise Jacques…
Attention au bac à sable!…
A Cernay, je suis un peu juste pour oser entrer sans rougir, alors je rallonge.
Aspach, Guewenheim, …
Retour à Thann par Roderen.
Les trois bosses sont casse-pattes, surtout la deuxième.
Ouf!