Hello papi, mais qué pasa


Faudrait que j’ajoute du scotch sur mes oreilles, pourtant je les enfonce à donf.

A la reprise de la batterie du Böhmerwaldkapel, mon écouteur auriculaire est tombé d’un coup sec sur le tarmac.

Dans le single de la Thur, j’ai profité de l’ombre avec Depeche Mode.

Finalement, ce petit coup de fraîcheur le long de l’eau m’a encouragé à persévérer.

Alors j’ai mis Aya. Vous savez la nouvelle égérie de Lanvin, tant décriée. Normal, c’est une fille des quartiers qui a réussi alors ça casse l’ambiance réac.

Moi j’cause pas English. Alors avec Aya, je capte.

Lorsqu’elle me dit Hello papi, mais qué pasa, je tends l’oreille et c’est là que mon oreillette se crashe dans les Renouées du Japon. Quelle misère!

Je remets à zéro…

Hello papi, mais qué pasa (mais qué pasa)
J’entends des bails atroces sur moi
À c’qu’il paraît, j’te cours après (oh yeah yeah yeah)
Mais ça va pas, mais t’es taré, oh ouais
Mais comment ça, le monde est tit-pe (eh)
Tu croyais quoi (eh), qu’on s’verrait plus jamais
J’pourrais t’afficher mais c’est pas mon délire
D’après les rumeurs, tu m’as eu dans ton lit

C’est pas d’l’Apollinaire, je garde mes nerfs.

un cardio comme ça, ça vaut 50 bornes de vélo

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