Courir pour rire

Une petite grimpée à Leimbach

Aujourd’hui j’ai tenté de grimper une petite côte qui mène à Leimbach par les champs. Mais à mi-pente, je m’arrête et je marche. Trop difficile pour moi.

J’ai commencé à courir le 27 janvier 2019. En trébuchant, en fractionnant, quand je sentais que c’était trop difficile. L’enfermement Covid des vieux dans un rond d’un kilomètre m’a permis de persévérer. J’ai expérimenté ma course dans toutes les rues du quartier.

Aujourd’hui, je suis dans ma cinquième année. Sans progrès notables. J’ai stabilisé mes parcours autour de 5 à 7 kilomètres, c’est à dire très peu. Mais c’est à chaque fois une épreuve qui me plait. Même si j’éprouve toujours une petite réticence à préparer mon mental.

Oui si je cours, c’est pour rire, c’est à dire pas pour de vrai car je ne serai jamais capable de m’aligner sur de la compét., juste de quoi entretenir mes forces. En même temps je déglingue mes articulations, c’est problématique.