Féminin pluriel


Lotte Kopecky ne manque pas d’atouts

Allez les filles!

On n’est pas en Afghanistan, heureusement.

Le Tour de France féminin prend sa place peu à peu au lendemain du Tour de France masculin qui vient de se terminer.

YARA KASTELIJN a remporté l’étape du jour Cahors-Rodez

Je ne consacre qu’une heure devant ma télé pour les derniers kilomètres des étapes. Comme pour les messieurs.

C’est un spectacle de qualité avec des grandes championnes en lice. Les experts ont parfois du mal à analyser les stratégies de course, mais alors que dirait-on des hommes?

Cela dit, la maillot jaune actuelle Lotte Kopecky s’est bien défendue et a su conserver sa place.

Cependant je reste persuadé qu’Anniemek Van Vleuten reste en réserve et va encore une fois s’imposer au classement final.

Demain Onet-le-Château/Albi 126km plat

2 réflexions sur « Féminin pluriel »

  1. J’ai déjà de plus en plus de mal à appeler « Tour » la plus grande course cycliste du monde tant elle élude la majorité du pays, se rapproche de plus en plus des 3000 km quand jadis elle en faisait 5000 km alors inutile de dire que je considère la version féminine comme une pantalonnade. Je n’ai pas regardé le parcours de cette année mais je me souviens que celui de l’année dernière n’aurait même pas mérité le nom de Tour du Grand Est.

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    1. Le mot « tour » est vraiment galvaudé par les organisateurs, certes, mais je ne me vois pas pratiquer des circonvolutions autour d’un imbécile pour parler de « tour de c.n », ou attendre indéfiniment mon « tour » dans une fille linéaire à la caisse du supermarché.

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