Voie Verte, zone grise

un nouveau panneau sur la Voie Verte en prévision d’un hiver précoce (Cernay)

Encore une bonne preuve que la France décline jour après jour.

A l’heure du changement climatique, à l’heure de la promotion des transports doux, voici un nouveau panneau qui apparait sur la voie verte de la Thur à Cernay. De quoi rendre la Voie Verte zone grise, c’est à dire une sorte de no men’s land qu’aucune autorité ne veut ni connaître ni entretenir.

On notera aussi la confusion de panneaux BO (qui a déjà servi de cible) plus B1 qui illustre l’incompétence des édiles.

Un panneau tout neuf qui a du coûter bonbon et qui anticipe les mauvaises glissades que pourrait faire un cycliste et le prévenant que la Voie Verte n’est ouverte que par beau temps. Une façon comme une autre de s’exonérer de toute responsabilité en cas de sinistre.

Ne pas croire que les services vont se décarcasser pour garantir la voie « tous temps ». D’ailleurs dans l’esprit de nos chers gestionnaires, la Voie Verte ne concerne que les randonneurs à vélo qui font du tourisme ou du sport. or le tourisme et le sport sont des loisirs secondaires.

Alors par mauvais temps prenez la grand route. Ou le tram.

Lutterbach, 4eme Lutter’Solid’Air

Une organisation qui vise à récolter des fonds pour

La MAISON AU fOND DU COEUR : permet aux parents d’enfants hospitalisés d’être à leur côté au sein de l’hôpital d’Hautepierre.

le Centre de Réadaptation de Mulhouse : aide à l’acquisition de matériel de rééducation.

l’ASSOCIATION HUMANITAIRE ET DE PARTAGE DE LUTTERBACH : vient en aide aux familles deshéritées de la commune.

J’ai pris le parcours route 60km qui passait par Rammersmatt, puis Roderen. Avec trois cyclos de Richwiller, nous avons ouvert la marche.

Parcours classique qui convient bien aux retraités en herbe et plus si affinités. Notre super-senior avait déjà quatre vingtaines au compteur. C’est dire si le vélo conserve! Je touche du bois.

Avant d’arriver à Rammersmatt, le ravito où l’on cause. On cause tellement qu’on oublie le retour.

Je file. Et à Aspach, je prends Cernay pour ne pas retourner à Lutterbach.

Sympa d’avoir retrouvé l’ambiance du passé.