
Une chose est sûre, elle est moins bien que la vraie.
Dès que j’ai traversé le Rhin à Vogelsheim, je me rends là-haut sur le parvis de la cathédrale. Et je traîne en poussant mon vélo pour admirer l’édifice et le belvédère qui donne un point de vue magnifique sur les vignes vers le Kaiserstuhl.
J’ai galéré avec cette peinture qui comporte de nombreux pièges de perspectives fuyantes et aussi avec les tons de la pierre. Finalement je l’abandonne en l’état mesurant ainsi tout le chemin qui me reste à parcourir pour rendre mon sujet attractif.



