
J’en ai terminé avec Hirtzbach. (voir mon billet du 17 juin dernier)
Ce polar du Sundgau a t-il laissé des traces?
Certainement!
Car quand je traverserai Hirtzbach, je penserai à la dame blanche.
Et j’irai fureter du coté du Neuweiher et écouter s’il n’y a pas des cris de cochons dans la forêt.
Peut-être même y retrouverais-je l’enquêtrice Poisson?
J’ai enfin compris le commentaire de louma110 ….
Et presque a la fin on peut deviner , pourquoi on n’a rien retrouvé des ces 4 « sales gosses » de la bourgeoisie locale pour peu qu’on ait vécu a la campagne dans les jeunes années !!! ! pour les cochons tout est bon !!!!!
Pour me mettre à l’abri temporaire des contingences d’un été fou, je vais cette fois me replonger dans Le désert des Tartares de Dino Buzzati, lu il y a vingt cinq ans.
Pourquoi?
Comme ça, je ne sais pas.
Juste pour y retrouver l’ambiance du temps qui passe.
J’ai d’autres choses en attente qu’on vient de m’offrir
- Le vieil homme et la mer d’Ernest Hemingway
- Nouvelles extraordinaires d’Edgar Poe
Je vais être forcé de ne pas m’attarder en chemin pour abreuver cette soif de lire.
