Raymond Devos disait « se coucher tard… nuit ».
On pourrait plus modestement affirmer, nous aussi, que « cycler tard…nuit ».
C’est pourtant ce que nous aimons. Parcourir les chemins détournés à la nuit tombante.
Loin de la circulation urbaine.
Humer l’atmosphère, écouter la nature qui s’assoupit et concentrer nos regards vers nos maigres halos.

