
Tous les matins, je bave devant l’écran.
Alors, je résisterai encore aujourd’hui au clic fatal.
Une fois de plus, j’ai consulté ma liste d’envies comme y disent chez Amazon. Continuer à lire … « Le petit Fixie du lundi »

Tous les matins, je bave devant l’écran.
Alors, je résisterai encore aujourd’hui au clic fatal.
Une fois de plus, j’ai consulté ma liste d’envies comme y disent chez Amazon. Continuer à lire … « Le petit Fixie du lundi »
Le fixe, c’est un vélo à pignon fixe c’est à dire sans roue libre.
Un vélo dépourvu de tout superflu. Continuer à lire … « Le fixe à Carrefour »
2012 sera une année très certainement toute pourrie !
Et oui, entre La fin du monde annoncée, la perte du AAA, le chômage et marine la pen qui va passer partout dans les médias, on va vraiment s’emmerder.
C’est dans Paris Chill Racing.
Continuer à lire … « Paris Chill Racing, fixies et plus si affinités »
https://youtube.com/watch?v=2hs56UI44eA%3Fversion%3D3%26f%3Dvideos%26app%3Dyoutube_gdata
C’est du beau fixies.
En plus, il est français.
Cocorico!
Surtout pour les finitions et leur coté vintage.
J’aime moins les roues avec les rayons torsadés comme un muselet de bouteille de Champagne
Certes les medias parlent du fixies comme une nouveauté en ce
moment, mais le phénomène existe depuis longtemps.
Aux USA.
Cela dit, son développement en Europe va rapidement poser des
problèmes de sécurité puisque le fixies, qui rappelons-le n’a pas
de freins mais un pignon fixe, n’est pas conforme au code de la
route.
A tel point que la FFCT s’est fendu d’un article dans sa revue
Cyclotourisme d’avril pour dire tout le mal qu’elle en
pense!
Bof!
Commençons déjà par verbaliser tous ceux qui nous empestent la
vie avec leurs décibels et leurs pots d’échappement percés!
« Je me sens comme un catholique peu pratiquant vis-à-vis du
vélo. »
Nicolas Vanbremeersch nous fait partager sa vision parisienne du
vélo sur son blog Meilcour.
Etude sociologique intéressante où il identifie quatre époques
de pratiques vélocipédiques.
– la phase pré-Vélib des militants
– la phase Vélib
– la phase fixies et ses geeks
– l’ère post-fixies
Entre-nous, le phénomène Vélib marque une peu le pas
partout: lourd à manier, pas là où on en a besoin,…
Sans parler de l’extraordinaire entreprise de démolition dont
sont victimes ces vélos!… (voir le site Véli-Pourri).
Il s’agit évidemment de vélo urbain et péri-urbain.
C’est certainement dans ce domaine du déplacement urbain qu’on
peut s’attendre aux plus grandes évolutions comportementales de nos
concitoyens.
Si la pratique du vélo obéit à des stimulus dus au marketing des
marques, il n’en demeure pas moins vrai que les utilisateurs
eux-mêmes sont capables d’impulser des modes.
Finalement, les constructeurs n’ont su imposer qu’une vision
ringarde du vélo ces derniers temps: celle du vélo tous terrains
(VTT) (la moitié des ventes en
France), le vélo « char d’assaut », sans élégance, à
l’image d’une société brutale.
Oui, le VTT tel qu’on l’a promu, c’est la version deux roues du
« 4×4 ».
Le fixies n’est pas encore arrivé en ville.
Avec son pignon fixe, dépouillé de tout, il a peu de chance de
prospérer puisqu’il est, par définition, hors règles.
En revanche, c’est vrai qu’on ressort les vieux vélos, les
routiers d’antan, Motobécane et autres Peugeot.
Ils sont destinés souvent à reprendre corps avec la rue…avant
de découvrir le confort technologique d’un vrai « city-bike ».