Se souvient-on seulement de l’histoire?
Celle de l’honneur perdu de Don Diègue et des liens du sang que Corneille met en scène?
Agréable colère !
Digne ressentiment à ma douleur bien doux !
Je reconnais mon sang à ce noble courroux ;
Ma jeunesse revit en cette ardeur si prompte.
Viens, mon fils, viens, mon sang, viens réparer ma honte ;
Viens me venger.
(Le Cid acte 1 scène5)
L’autre douleur fatale, c’est celle que nous redoutons tous sur nos bécanes, celle de l’infarctus ou de l’accident vasculaire. Poursuivre la lecture de « Rodrigue, as-tu du cœur ? »