Pflixbourg-Hagueneck à VTT

Wettolsheim en vue, je sens que je vais me régaler
Wettolsheim en vue, je sens que je vais me régaler. Le vignoble a viré au jaune ces derniers jours.

Aujourd’hui je pars dans le massif du Stauffen à l’entrée de la vallée de Munster.

Situé entre Husseren et Wintzenheim, cette belle forêt renferme les vestiges de six châteaux datant du Moyen-Age. Continuer à lire … « Pflixbourg-Hagueneck à VTT »

Sur la route du Tour

Vallée de Munster

La pluie s’est invitée à 12 heures à Orschwihr.

J’ai donc pressé le pas pour rentrer.

Ce matin déjà, la pluie cherchait. Elle me cherchait, comme on dit en Alsace. Continuer à lire … « Sur la route du Tour »

Dix pour cent tout de suite

Notre dernière augmentation?

Non, c’est la pente qui nous attendait coté Husseren en direction des Cinq Châteaux, puis celle de Eschbach en direction du Petit Ballon.

Des pentes qui n’impressionneraient même pas les coureurs du Tour de France. Continuer à lire … « Dix pour cent tout de suite »

Opération vérité des prix chez Leclerc

Blog de velomaxou :Vélomaxou, le blog d'un cyclo mulhousien, Opération vérité des prix chez Leclerc

cliché MP

C’était un voyage aux Trois Epis qui a tourné court.

Un pneu éclaté obligera tout le peloton à un détour par un
magasin Leclerc. Un pneu de 700×25 fera l’affaire moyennant 7 euros
50…puis quelques kilomètres après, une chaîne toute neuve qui
lâche dans  la montée de la route des Cinq Châteaux.

La pose d’une attache rapide a manifestement intéressé beaucoup
de spectateurs zélés…

C’était la journée à « Pas de Chance »!

Les Trois Epis seront  pour une autre fois.

De belles images quand même des joyeux lurons.

Retour par le vignoble après le formidable point de vue
d’Husseren les Châteaux sur la plaine d’Alsace ensoleillée.

Plus loin, les céréaliers ont mis toute les pompes en action
tant la sécheresse est rude.

Ce qui nous vaut quelques douches fraîches le long des chemins
ruraux.

 

Firstplan, route des Cinq Châteaux


C’est un grand classique pour les mulhousiens.

Avec un peu plus de 1000 mètres de dénivellée, ce parcours nous mène jusqu’à Soultzmatt avant d’aborder Osenbach, puis le col du Firstplan qui permet de changer de vallée.

Dans la vallée de Munster, on gravit à nouveau la pente par la route des Cinq Châteaux jusqu’à Husseren.

C’est un bel itinéraire.

Avec la montagne vosgienne, sa forêt, de beaux points de vue au coeur du vignoble d’Alsace.

Retour par Rouffach.

Reportage en images…

 

Les 4 z’amis

Ils sont en fait trois, quatre ou cinq, parfois six…

Peu importe!

« Il suffit de vouloir devenir un z’ami », dit la
chanson

Facile à dire!

Non, l’amitié ne se décrête pas.

C’est un art compliqué fait de compréhension réciproque,
d’attention soutenue, de solidarités éprouvées et de complicités
dans les joies et les épreuves.

Elle s’exerce aussi dans l’acceptation de mauvaises humeurs
passagères et dans la recherche permanente d’une concorde de tous
les instants.

Une forme de non-dit qu’on retrouve parfois dans les groupes
cyclistes.

Accélérer la cadence sans dépasser les limites qui briseraient
la cohésion; rechercher un itinéraire partagé; s’attendre dans les
hauts de côtes; comprendre des arrêts impromptus; savoir être
généreux face au vent; ne pas troubler la quiétude d’une pause par
son impatience…

Bref! un savant dosage de savoir-être à l’épreuve des faits.

Aujourd’hui, 95 km au sein du vignoble du coté d’Eguisheim et
d’Husseren.

Oui, l’Alsace est toujours aussi belle.

 

Eguisheim, Husseren et retour

Vélomaxou entame un monologue avant de faire le bilan de son
après-midi…

– « Vous êtes encore allés à Eguisheim? »

– « Oui, et alors? »

Eguisheim reste un but de balade idéal en automne. Et même en
hiver. C’est ce que d’autres appelleraient « une valeur sûre »!

La preuve: c’est qu’Eguisheim attire toujours autant de
touristes, même hors saison estivale.

Evidemment, ce village médiéval ne manque pas de charme et on a
toujours du bonheur à s’y arrêter. Pour déambuler dans ses ruelles
ou pour s’y réfugier au fond d’un wistub autour d’un vin chaud.

En plus d’Eguisheim, on en profitera pour surplomber le vignoble
depuis Husseren.

Les vignes prennent une couleur de pain doré ondulant jusqu’à la
plaine.

On rentre par Rouffach et Ensisheim et son étang paisible
parcouru par les derniers rayons du soleil couchant.

Bof!

Blog de velomaxou :Vélomaxou, le blog d'un cyclo mulhousien, Bof!

Voila ce qui arrive quand on fait trop de vélo: on en veut
toujours un peu plus, on fait le difficile, le parcours est nul, on
l’a déjà fait, mais pourquoi on rame comme ça? est-ce que j’ai
encore des pignons au frigo?…, et na, et na, et na!

Tout est nul!

Pourtant, il fallait quand même les faire les 105 km avec 1300m
de dénivellée, aller à Soultzmatt avec un vent de nord qui vous
cassait les pattes, grimper le Firstplan avec la pluie en se
demandant si on verrait enfin le bout de la côte, la descente
emmitouflé dans l’imper en jouant avec les grains de céréales
coincés dans les dents pour passer le temps.

Et se repayer la route des « cinq chateaux » qui mène à
Husseren…une route sans âme, infâme, qui vous plombe le vélo, qui
vous scotche si vous ne relancez pas à chaque virage et dont on
compte et recompte les km pour savoir quand le bout va
arriver!..

Bon, finalement notre parcours « bof », pas top, il était quand
même bien pour ce 25 août médiocre qui nous a offert un vent de sud
pour le retour comme un maléfice et même qu’on a du s’accrocher au
guidon, serrer les dents et presser sur nos guiboles flageolantes
pour rentrer dans les délais en tenant un « petit 25 » vent debout
avec Jean et Gaston.

Gaston avait raison: « on n’a pas vu beaucoup de vélos,
aujourd’hui! »

C’était pas le jour.

Jeudi, on fera mieux!

Bonne nuit!

Husseren les Châteaux

Les arroseurs sont prêts dans la plaine.

Mais les pluies récentes suffisent actuellement aux maïs.

On obliquera vers Eguisheim qui reçoit ses premiers
touristes.

Et puis viendra Husseren et sa fameuse côte qui nous conduit au
coeur du vignoble d’Alsace.

Au loin, depuis les hauteurs des collines, on aperçoit un 
orage qui se déplace le long du Rhin.

On rentrera vent de face en passant par Ensisheim qui évoque
fièrement son passé minier.

Tout en évitant les gouttes.

Petit Ballon deviendra grand

2 mai, une belle balade en projet entre amis.

Au programme, Osenbach, Firstplan, Petit Ballon,
Plaetzerwaesel!..

Après un Firtsplan grimpé dans l’allégresse et sans trop entamer
notre capital physique, on prendra soin de se couvrir dans la
descente ombragée vers Wasserbourg.

Le beau temps nous attend à Wasserbourg: tout s’annonce donc
très bien pour entamer cette ascension du Petit Ballon.

Ceux qui n’ont jamais monté au Petit Ballon par Wasserbourg sont
toujours surpris par la rigueur de la pente dès la traversée du
village…combien? 10, 12, 13%,…?

Personnellement, je monte avec un 32×27 à 7km/h environ qui me
procure le confort attendu du point de vue cardio-vasculaire, sans
dépasser 160 pulsations.

Après un premier méandre à la sortie du village, la montée le
long du bois de sapin nous offre un beau panorama et déjà
Wasserbourg est en contrebas.

Quelques faux plats nous permettent de reprendre souffle et
quelques dents…

On prend soin de s’aligner sur le bas coté car les premiers
promeneurs motorisés nous dépassent avec une relative attention
pour ne pas nuire à notre effort. Merci à eux!

C’est à l’auberge du Ried que nous nous rassemblons avant
d’entamer la suite de la pente.

Après le Ried, le Petit Ballon (1267m), vierge de ses bois,
apparait dans toute sa splendeur et sa végétation décharnée qui
rappelle le sud. Il nous révèle encore de jolis méandres ainsi que
la ferme auberge Kahlenwasen, tout là-haut, dont le parking est
déjà fort pourvu en véhicules. Sont-ce des commensaux déjà attablés
autour d’un repas marcaire ou des marcheurs? On ne le sait
pas…

C’est après cette auberge que les premiers coups de tonnerre
retentissent dans la vallée sur le coup de 12h15.

On pressera le pas jusqu’à Rothenbrunnen pour déjeuner alors que
des nuages menaçants envahissent le massif du coté de la
Schlucht.

On hésitera à reprendre la route après le repas – consistant
le repas, comme on l’imagine!
– tellement le temps est dégradé
et qu’une pluie copieuse dévale la pente.

Tous les vêtements de fortune sont les bienvenus pour aborder la
descente vers Sondernach. L’aubergiste me fera don de sacs
plastique pour isoler mes pieds de l’eau.

Il faut dire que la température est passée de 22° à 7°C entre
12h et 14h!

Descendre à petite vitesse! Et lâcher les freins l’un après
l’autre pour évacuer les scories qui encombrent les patins!

C’est dans un nuage de brume que disparaissent l’une après
l’autre nos silhouettes.

Transis de froid et trempés, il faudra se rendre à l’évidence
une fois rendu à Sondernach: monter le Plaetzerwaesel est hors de
nos forces avec nos jambes tétanisées; d’autant que le temps est
complètement bouché là-haut.

On rentrera donc par la vallée de Munster alors que Colmar au
loin semble aussi dans la grisaille…

On obliquera donc par la route des Cinq Chateaux une fois
arrivés à Saint-Gilles.

Une route qui, par expérience, n’est pas aussi facile qu’on veut
bien le dire, tant la fin des bosses tarde à venir avant la
descente sur Husseren.

C’est en arrivant à Husseren qu’on découvrira une plaine
d’Alsace enveloppée dans une brume nappée de grosses flaques.

Il ne restait plus qu’à rejoindre Mulhouse et à préparer des
grandes lessives!

Non sans s’offrir une crevaison à l’entrée de Wittenheim. A la
roue arrière, comme il se doit!

18.8km/h -2000 de dénivelée – 126km et beaucoup de courage et de
bonheur.

Destination Husseren

Tournée dans le vignoble en images…





La sortie de Soultzbach les Bains

Soultzbach les Bains, dans la vallée de Munster, nous
conviait à ses randonnées en ce dimanche 18 mai.

Le parcours moyen conduisait à la route des Cinq
Châteaux peu après le départ avec une
montée « à froid » qui ne laissait pas le temps
d’ajuster nos jambes à la machine…

Hélas, des Cinq Châteaux, nous n’en verrons aucun,
car l’itinéraire en forêt ne donnait pas la vue sur
ces vestiges.

L’arrivée sur Husseren est encore ensoleillée
à cette heure matinale, mais des brumes cotonneuses se
déplacent autour du vignoble de Pfaffenheim.

Gueberschwihr aussi est dans le coton suite aux dernières
pluies de la nuit.

Dame cigogne ne daigne même pas se détourner
à notre passage derrière Rouffach.

Voici le val du Pâtre qui se termine et alors que les
premiers nuages s’ammoncellent…

Et après la descente de Gauchmatt, nous montons vers
Wintzfelden, en direction d’Osenbach…avant que  de  monter au col du
Firstplan, pratiquement le terme de notre
randonnée puisqu’il ne reste plus qu’à se
laisser  glisser  jusqu’à Soultzbach les Bains
pour terminer cette balade et alors que la pluie
s’annonçait.

Il est à noter que ce parcours se prolongeait pour les
plus forts par le Bannstein, le Markstein et le Petit Ballon.

Bref un programme du tonnerre pour les mollets
ciselés!

58km-1200m