
Col Amic à Kohlschlag
J’ai fait un appel aux candidats du club. Personne! Alors je roule tout seul, après ma sieste généreuse. Je ne suis donc tenu à rien sur le plan itinéraire et vitesse.
Et après, en juin, on verra des cyclos se pointer pour commencer la saison.
La montée par Wuenheim. La plus facile, dit-on. Je n’ai pas d’autre ambition que de grimper en haut.
D’ailleurs je m’arrête deux fois.

Une fois au Rote-Rain pour regarder un concours de jeunes vététistes et une fois à la Croix Zimmermann pour écouter deux Alphorn.
Puis je me laisse descendre à Willer.

Dans un sursaut d’estime, je prends la grimpée du Hundsrück à Bitschwiller. Mais je m’arrête au Plan Diebold. Je croise un, puis deux, puis trois cyclistes dont une particularité me choque, ils sont entièrement vêtus de noir.
J’en ai assez, surtout avec le petit passage à 10% avant le Plan. J’ai presque mes 1000m de déniv. Je ne suis pas à l’agonie, je me contente de 8/10 km/h dans les grimpées et j’ai 18 de moyenne. De quoi avoir une mention bien.
