Oui, si Fukushima est loin, on peut compter néanmoins sur les
vents pour nous propager les particules radioactives qui
s’échappent de la centrale. Et ensuite sur le mouvement des océans
qui vont véhiculer l’eau de mer contaminée.
Mais les modélistes vont s’arracher leurs derniers cheveux car
la circulation des vents sur le globe obéit à des mouvements
complexes en fonction des situations cycloniques.
Ici, sur cette photo, voici un schéma des
circulations des vents dominants sur le globe terrestre en
janvier.

