Le parti du vélo a déjà recueilli plus de 400 signatures auprès des élus afin de pouvoir présenter son candidat bienaimé, le vélo.
Il est vrai que l’exercice est délicat.
Coincer les maires avec son vélo lorsqu’ils descendent de leurs grosses limousines noires n’est pas facile.
A la campagne, il faut les attendre au bout du champ et faire des signes pour qu’ils consentent à descendre de leurs tracteurs.
Il n’ont pas beaucoup de temps à nous consacrer. Surtout actuellement, où c’est l’heure de l’épandage du fumier…
Nos collecteurs ruraux restent stoïques, tout en se pinçant le nez.
Mais avec l’habitude, finalement, l’odeur du fumier devient acceptable.
Au moins on voit de quoi il s’agit; c’est moins insidieux que les NOx de la ville.
Notre candidat, le vélo, vous le voyez sur notre affiche de campagne, n’a rien de thématique: il est une solution globale aux questions actuelles:
– économique,
– sociale,
– énergétique,
– environnementale.
Rêvons un peu, un Président cycliste, ça aurait de la gueule, non?
Pas un Président qui se contente d’aller commander des pizzas, un vrai Président cycliste capable d’impulser le mouvement.
Oui, un Président cycliste, un vrai dont le vélo serait « un prolongement minéral de son système osseux ».
velomaxou 