Avec sa revue « Le Randonneur », l’association « les Amis du Randonneur » fondée par Abel Lequien tient à pérenniser son action, son lien avec les amoureux de la nature à vélo.
Mais est-ce suffisant?
L’association s’interroge toujours sur la place que doit tenir la revue conjuguée au développement de son site internet.
Le « tout internet » dérange encore nombre d’associations attachées à la communication papier.
Mais les tenants de cette solution veulent défendre leur revue coûte que coûte tout en constatant que le tâche est énergivore…rédacteurs, metteur en pages, comité de lecture et de relecture, dessinateur de cartes, illustrateurs, impression, expédition,…un investissement considérable pour une petite association qui recueille 654 abonnements.
Cela dit, les Amis du Randonneur ont toujours plaisir à se retrouver avec leur vélos lors de leurs Rencontres Nationales.
La prochaine aura lieu à Rémuzat en mai 2014 dans la Drôme provençale.
Aller sur le site du randonneur
On peut s’abonner en ligne à la revue (3numéros-20 €)
velomaxou 
Merci Maxou de nous faire un peu de pub ! Pour ceux qui ne le savent pas, le Randonneur c’est une affaire 100% bénévole et notre salaire c’est la reconnaissance de notre travail.
Maintenant sur le sujet revue papier ou site internet,
– premièrement une grande partie des Amis du Randonneur n’ont ou ne veulent pas d’Internet
– Ensuite tenir dans ses mains une belle revue imprimée, c’est un autre « feeling » que de défiler sur un écran… comme je pratique les deux je vois clairement la différence !
– Bien sûr comme tu le dis c’est plus cher et donne (beaucoup) plus de boulot… mais quand on aime on ne compte pas !
Je te souhaite beaucoup de plaisir à la découverte du nouveau numéro
Bien cordialement
Charly
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C’est vrai qu’elle est belle cette revue.
Elle communique une belle idée, celle qu’il existe une alternative au vélo nez dans le guidon.
Un jour, je me suis arrêté devant un parc de cigognes en Alsace.
Tout le monde que je promenais avec moi s’est arrêté sans comprendre ce qu’il y avait à voir.
J’ai beaucoup regretté ensuite de m’être investi dans cette balade.
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