C’est une route à lacets qui serpente sur près de 10 km et qui décrit en vue du sommet une boucle à 270 degrés qui ressemble à deux gouttes d’eau à un nœud de cravate, d’où son appellation.
J’ai trouvé un maître.
José Bruffaerts.
Fou de chroniques chroniques, l’ami José est parti aux Baléares, non dans une ile, Madère ou kekchose comme ça je ne sais plus.
Finalement, c’est Majorque.
Un truc où on peut picoler, c’est sûr.
Blondin aurait aimé.
Argotique, non, égotique, le josé ne déteste pas le parler d’Anvers, ou d’endroit.
Il le reconnait, le tas de fumier est un peu trop haut pour le coq gaulois.
Puis on s’éparpille en considérations diverses, puis on se retrouve le long de nos récits.
- Quoi que le peuple en pense, la chronique est un genre littéraire mineur qui ne requiert aucun besoin d’imagination, ni de fantaisie. Qui que ce soit devient chroniqueur à la petite semaine puisqu’il n’y a qu’à relater un épisode vécu dans un style objectif sans procéder nécessairement à une analyse ni à une interprétation des faits.
- Le roman-photo reste probablement la meilleure solution pour redonner une nouvelle jeunesse à ce genre de littérature. En effet, afficher un trombinoscope accompagné d’une légende minimaliste, voilà la formule du succès puisque, très souvent, le lecteur scotche son attention sur une photo dans l’espoir de tomber sur une tronche connue ! Une bielle louloute ou un bieau biclou, c’est itou ! Le texte, il s’en fout !
Une photo, ça ouvre toujours une perspective !
Je sais tout ça.
Mais quand même, je fais ce que je p’neux.
N’est pas José qui veut!
