L’état de nécessité au sens large


Sausheim. Voiture banalisée d’un service public du Haut-Rhin dont on cachera le nom

En France, l’état de nécessité, prévu par l’article 122-7 du code pénal est « la situation dans laquelle se trouve une personne qui, pour sauvegarder un intérêt supérieur, n’a d’autre ressource que d’accomplir un acte défendu par la loi pénale »(Wikipedia)

C’est le cas, semble t-il, des agents publics et territoriaux qui s’exonèrent du droit comme bon leur semble pourvu qu’ils accèdent à leur zone de chantier. Accéder à une zone de chantier étant, sous-entendu, d’un intérêt supérieur à la libre circulation des cyclistes.

Cet état de nécessité fait l’impasse notamment sur la courtoisie élémentaire vis à vis des usagers cyclistes qui ont [encore] bien assez de place pour passer le long du véhicule. Et avec une remorque? Passer sur l’herbe!

Une réflexion sur « L’état de nécessité au sens large »

  1. Etant habitué de ce genre de comportement, les flics ou gendarmes repartent avec systématiquement une pièce en moins si ils sont garés comme cela.
    Bon je triche, j’ai un vélo couché, donc si c’est un peu serré, ma pédale va arracher directement le rétroviseur ou un phare. Cela gueule un peu, mais maintenant, ils se garent proprement 😀

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