C’est comme le train de 14h15, il ne faut pas le rater.
A 14h15, j’étais donc à Rammersmatt.
Personne ne m’attendait.
Parti tôt car la nuit arrive vite, il est rare d’être là à cette heure de l’après-midi.
J’avais cet objectif de faire cette petite bosse de Rammersmatt puis de rentrer, le temps n’étant pas fameux avec seulement 4°C.
La grisaille s’est installée peu à peu et l’espoir d’un rayon de soleil s’est envolé.
Mieux, une fine pluie m’attendait à Roderen pour le retour par Reiningue, Wittelsheim et Staff.
Ce n’est qu’à Wittelsheim que j’ai retrouvé la route séche.
