Je suis parti à 12h30 pour profiter du soleil.
En arrivant à Bergholtz, je ne sais pas trop vers où me diriger.
Je commence à grimper le vignoble.
J’ai de beaux points de vue.
Puis je m’engouffre dans la forêt.
Je voulais rejoindre le Val du Pâtre, mais je me trompe au km 17 en prenant une tranche sans issue.
Quand on se trompe, on paie comptant: 3km aller et retour!
Revenu au km 17, je prends un sentier de liaison qui me permet de reprendre ma route.
Puis je suis le fléchage du Club Vosgien « carrière de Bergholtz ».
A pied.
J’ai bien fait car le site que je découvre est très beau.
Exploiter de tels blocs devait relever de l’exploit et comporter beaucoup de dangers.
Longue de 600m, cette carrière a servi à construire de nombreux édifices pendant au moins trois siècles.
On y trouve gravé dans la pierre une épitaphe Georges Jacob Simon mort à 43 ans en 1832
Ces grandes falaises de pierre servent aujourd’hui à faire de l’escalade.
lire l’histoire de la carrière ici
Comme je suis à un jet du col du Dreibannstein, je le rejoins.
Puis à partir du col, je descends au Val du Pâtre.
Je traverse la route et j’amorce la descente vers Soultzmatt par le chemin de Croix.
Je marque une pause au Menhir Langenstein
Dressé en 1904 après JC (et non pas avant), toutes les
suppositions sont permises…et son authenticité reste à
démontrer.Cependant, outre que certains l’auraient vu tourner sur lui-même
les nuits de pleine lune, on lui attribue aussi des vertus
curatives…
Sur le chemin du retour, je m’offre une dernière grimpée jusqu’au Bollenberg, puis je rentre.
