Le vélo est un formidable outil de mobilité.
Mais il a ses limites.
Les cyclotouristes le comprennent très bien.
Faire du tourisme par moins dix degrés n’a rien d’agréable.
Faire du vélo en ville?
Oui, à la limite si le voyage ne dure pas trop.
Pour ma part, ma limite c’est moins deux degrés.
En dessous, je reste sous la couette.
Tous les calfeutrages, toutes les couches ajoutées, toutes les paires de chaussettes n’y suffiront pas.
Attendons donc des jours meilleurs!…

En lisant le titre « Les limites du vélo », je m’attendais à un article sur les escaliers 😉
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sage décision !!!!
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Bonjour,
J’ai ainsi posé le problème auprès de mes collègues :
Un cycliste urbain SUR LA CHAUSSÉE D’UNE AGGLOMÉRATION PLATE circule à une vitesse approximativement moyenne de 25 km/h, la température de l’air est de -7°C, trouve dans le tableau suivant la température « ressentie » par ce cycliste (ce dernier est habillé convenablement de la tête au pied pour 15 km de trajet afin d’aller travailler).
Sachant qu’il aurait pu être à 10 km/h sur les 5 000 km d’itinéraire cyclable construits par Jehanne dans sa mégalopole (dont 428 km encore devinables sous les autos…), quelle serait alors sa température « ressentie » ?
Cordialement,
JPierre Bertrand
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