J’en ai vu un en vrai dans une vitrine.
Un quoi?
Un VTT mono-plateau.
Le VTT mono-plateau se développe avec son corolaire, une cassette 12 vitesses de 10 à 50 dents.
C’est la mode à l’envers puisque le plateau est cette fois à l’arrière du vélo…
Une fois le moment d’émotion passé, il faut se rendre à l’évidence: cette plaisanterie en un seul bloc coûte la modique somme de…458 euros!
A ce prix là, mieux vaut surveiller de près l’usure de la chaîne…si l’on est assez fortuné pour se payer cette excentricité.

Ça doit faire maintenant deux ans que la majorité des compétiteurs de VTT utilisent des vélos mono plateau. Question de légèreté parait-il et aussi pour un meilleur guidage de chaîne. Quant au prix , personne n’est obligé d’acheter du SRAM ! Les vélos de gravel s’y sont convertis aussi; le magazine 200 propose dans son dernier numéro un essai de ce type de transmission. Il semble toutefois que ce ne soit pas la panacée. Simplement un tournant de la mode. Il faut bien inciter à l’achat en « innovant » .
Dans les années 1940, tous les vélos étaient mono plateau, mais pas avec des cassettes de 12 pignons…
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oui, en 40 y’avait 3 pignons, c’est vrai et la chaîne était plus large et moins contrainte.
Avec 12 pignons, une chaîne étroite doit s’user à grande vitesse…
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Et le dérailleur arrière était situé sous le pédalier, avec une grande chape et non pas contre le moyeu arrière. En 1944 mon père a fait avec un vélo de ce type Paris-Vesoul en trois jours, pour aller chercher des patates ! Il est rentré avec le vélo et les patates, mais en train, à cause des crevaisons à répétition et …des caprices du dérailleur.
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Ce que j’en pense tient en trois lettres… BOF
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