
Faut oser un titre comme ça, surtout quand je rentre « lessivé » à 6’30 » le km. Faut qu’j’m’calme.


Dans le nombre, les vétérans ne sont pas légion. Se fondre dans la masse de coureurs patentés le long du Doubs à Besançon vous donne des ailes. Compteur en main, je veille à ne pas m’embarquer trop loin. A trois kilomètres en aval du fleuve, je songe à retourner tout en changeant de rive.
Le petit pont de Mazagran tombe à point dans la torpeur de l’été.
Auparavant, j’ai traversé le pont Battant où trône la statue du marquis Jouffroy d’Abbans.
Puis j’ai longé le quai Vauban et traversé l’immense promenade Chamars (qui serait la contraction de champ de mars)…

