Putain, mais tu déconnes

Putain, tu déconnes (paroles de Djadja)
Paroles de Djadja. Manifestement ce n’est pas du Charles Trenet, mais la psychologie est puissante car je ne comprends pas tout. J’ai encore besoin de suivre des cours.

Alors comme ça Aya Nakamura est devenue ambassadrice de Lancôme, les parfums (groupe L’Oréal).

Aya Nakamura a 6 millions d’abonnés sur sa page Facebook. Les grincheux vont encore avoir mal à l’estomac.

Aussitôt la toile s’est enflammée de tous les poncifs racistes pour dévaloriser celle qui venue du Bamako a réussi à vendre en trois mois 100.000 exemplaires de son album Aya.

Je me marre.

Ce ne sont pas les vieux cons comme moi qui l’arrêteront.

Donc ce matin j’ai encore fait le tour du lac de Reiningue avec Djadja, son titre fétiche.

En musique, je suis éclectique, Bill Evans, Miles Davis, Chick Corea, Keith Jarret, Debussy, Poulenc,…et même Aya, cherchez l’erreur. Il n’y en a pas.

A 10 heures, mon sport du samedi est fait. Temps incertain, venteux, pluvieux.

Un vieux qui court, c’est déjà incongru. Si en plus il écoute Nakamura, c’est du délire. Vite, il faut consulter.

Je n’avais que deux couches sur moi dont le fameux blouson sans manches d’Etoile 78, mon club vélo de Vieux-Thann. Il est marqué 2XL et je suis serré à l’intérieur comme une sardine en boite. Heureusement qu’il est bourré d’élasthanne pour pouvoir mettre tout dedans.

Un peu de pub pour la Fourmi Immo et la Cabane à Pizzas, ça ne peut pas faire de mal. (Je vous recommande la Collioure)

La Hague

Huile 25×25

Tout au bout de la Hague, après avoir dépassé l’immense complexe de retraitement des déchets nucléaires, un petit port sympa comme tout. Et son phare du Goury.

Bloc-notes du 18 février

Brandir la tête de Palmade au bout d’une pique

Par un curieux focus, les médias ont voulu faire un coup avec l’affaire Palmade, histoire de donner le change à l’exécutif qui patauge dans son dossier des retraites. Or l’affaire Palmade n’est qu’une illustration de plus des addictions qui révèle un mal-être des sociétés modernes. « Aboyer avec la meute » (lire ci-dessous) et s’insurger que Palmade ne soit pas encore en prison, c’est accréditer l’idée qu’il y aurait deux justices, celle des riches et celle des pauvres, regarder plutôt le glaive de la justice et ne pas voir les tonnes de cocaïne déversées dans le pays pendant le même temps.

Franck Buchy (DNA 18/02)

Pour 18 petits milliards dans l’océan de dettes causées par Macron, la France est donc chauffée à blanc.

Sur les pistes de ski, les canons crachent de la belle neige de culture. Il faut ce qu’il faut. Nos pommes viennent de Pologne mais la neige est bien de chez nous, même si on vient à manquer d’eau dans quelques semaines.

Pour trouver 18 milliards en 2030 (chiffre encore contesté), le gouvernement s’est pris les pieds dans le tapis avec le sujet des retraites, un sujet hautement épidermique puisque la politique n’a cessé de nous emmerder ces derniers temps avec le Covid et ses confinements à la maison, puis avec l’envolée du coût des énergies et maintenant les retraites.

Le personnel politique fait preuve d’une incompétence déconcertante et d’une méconnaissance affligeante du monde du travail.

J’en ai les frissons si par malheur on doit affronter le conflit russo-ukrainien et l’ignoble Poutine.

Faire la peau aux Français, « nous emmerder » comme il dit, Macron l’a voulu. Il risque fort d’en faire les frais.