Je ne souvenais pas de ma dernière crevaison. Ce matin je n’ai pu l’éviter. Il a suffi d’un caillou dans la descente du Hundsrück.
Le pincement de chambre n’a affecté que la roue arrière. Pas facile à distinguer sur la route car après la tempête de la nuit dernière, elle était encombrée de branchages et d' »oursins » de châtaigniers.
J’ai commencé par Bitschwiller alors qu’un rayon de soleil éclairait le massif.
Un point de vue sur la vallée qui mérite l’admiration.
La route est jonchée de débris. Mieux vaut descendre au pas.