J’imaginais, sans trop y croire, que j’allais pouvoir me pavaner
derrière le peloton à l’abri du vent
Après mon Blauen de dimanche, j’avais encore les jambes
en compote.
Oui, et si on faisait un « p’tit Osenbach » avec retour
« Bannstein » (prononcer Ban-ch’tin! mes amis
adorent…)
Le temps, beau au départ, s’est soudain refroidi en fin de
journée, annonçant du moins beau demain avec un vent froid de
nord-ouest, inhabituel ici.
Et mon espoir de parcours plat s’est envolé.

