vélomaxou-Zienken
Nos agriculteurs français n’ont pas cette faculté qu’ont les
allemands, nous dit-on. Celle de recruter de la main-d’oeuvre
étrangère temporaire.
La cueillette des fraises bat son plein actuellement de l’autre
coté du Rhin.
Des récoltants à la nationalité incertaine venus dans des bus
qui ne sont pas de la première jeunesse. Et qui rentrent aussi vite
qu’ils sont venus chez eux, une fois le travail accompli.
Une forme de dumping social au grand jour.

