Je me suis bien gardé d’entreprendre un tour long.
Vingt kilomètres auront suffi à visiter le paysage givré autour de chez moi.
Pour relier deux sentiers entre-eux, j’ai pénétré dans la forêt, j’ai butté sur une branche dissimulée sous l’humus et j’ai fait un roulé-boulé. Continuer à lire … « Froidure »
