L’affaire de Laurent Blanc qui ne voudrait plus de joueurs noirs
dans son équipe de foot-ball met tout le landerneau sportif en
émoi.
La question de quotas de jeunes noirs évoquées pour les écoles
de foot-ball achève d’instaurer le malaise.
C’est que beaucoup feignent de découvrir que le sport
professionnel obéit aux mêmes lois que le business; mondialisme et
concurrence exacerbée.
Un constat qui va bien sûr à l’encontre de l’éthique sportive,
de la discrimination raciale et pour tout dire des droits de
l’homme.
L’embarras est grand.
On serait même fondés à penser que le nationalisme ambiant n’est
pas étranger aux décisions des dirigeants du foot-ball
français.

