
Ce n’est pas moi.
Mais je comprends Philippe, ce cycliste parisien qui va travailler à vélo.
Lorsqu’il arrive à son travail à Paris après 12km parcourus depuis Antony, il a besoin de décompresser un peu, mais il le reconnait, il est aussi un peu euphorique.
Le corps secrète t-il des endomorphines?
C’est vraisemblable.
Nous aussi, après une belle balade à vélo, on se sent bien si on ne s’est pas mis dans le rouge tout le temps.
Dans ce flot interrompu de véhicules enchevêtrés, de chantiers permanents, de livreurs en double file, il a pris ses habitudes.
Rien n’est conçu pour lui et pourtant, il s’en accommode.
lire ce très bel article de Flora Genoux dans Le Monde
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