Ebola à vélo


particule virale Ebola

Aucune raison d’avoir peur, le vélo ne propage pas la maladie.

Mais le virus peut se retrouver sur les poignées du guidon comme sur les poignées de porte si elles ont été en contact avec quelqu’un porteur de la maladie…surtout si vous êtes adepte du Vélib parisien.

Il faut tout de même savoir que la maladie est mortelle à 90% et se transmet à l’homme à partir des animaux sauvages et se propage ensuite dans les populations par transmission interhumaine : par contact direct avec le sang, les liquides biologiques ou les tissus des sujets et animaux infectés.(source Ministère de la Santé)

J’ai pris depuis longtemps quelques habitudes de protection sans pour autant être un hygiéniste de premier plan.

Se laver les mains souvent et manœuvrer les portes de toilettes publiques avec une serviette (propre).

Le virus Ebola peine à être contenu dans le monde car il profite des mouvements humains planétaires et aucun traitement n’est encore efficace.

Plus petit qu’une bactérie, la taille des virus se situe entre 10 et 400 nanomètres, c’est à dire 0,000.000.001 mètre et 0,000.000.04 mètre; on ne peut donc le voir à l’œil nu.

J’avais un bon médecin de famille qui m’expliquait qu’au Moyen-Âge, pour échapper à une épidémie de peste, il fallait vivre en autarcie, à l’écart du monde et des voyageurs. Par exemple, les populations cévenoles à l’écart des mouvements de transhumances survivaient mieux au fond de leurs vallées.

Ce n’est plus possible aujourd’hui avec les moyens modernes et rapides mis à notre disposition pour voyager.

Enfin, mieux vaut se garder pour l’heure d’aller passer ses vacances en Afrique Noire.

Pour aller plus loin, les recommandations de l’OMS

 

 

 

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