A 17h30, une fois le coup de chaud passé, je m’échappe en douce.
Un heure trente de vélo, c’est toujours bon à prendre.
De quoi sortir du champ urbain et rejoindre la campagne.
Il est vrai que je n’ai pas loin à aller pour obtenir de belles perspectives.
Un privilège inestimable.