Je roule derrière Leclerc Cernay.
Un beau maillot qui rend la firme Leclerc populaire.
Je ne sais pas combien touchent ces hommes-sandwich sur leur vélo.
Rammersmatt, puis le Schirm.
A Masevaux, on se quitte.

J’ai grimpé plus vite qu’à mon goût rien qu’en voyant ce poisson pilote devant moi.
J’en suis tout ébaubi.
Leclerc Cernay m’a dit, arrivé au Schirm, que j’avais de bons restes et que c’était pas son jour de bonnes sensations.
Le cardio s’est même affolé à 170 un court instant…complètement déraisonnable.
Je redescends par le Haut-Soultzbach avec un méchant vent d’est qui retient l’avancement.

Cette fois le froid semble s’installer; on en serait presque surpris en ce 31 octobre.
